12 Août – 21h30
Venus Anima
Maison Breton
Projections et concert.
1ère partie :
Venus Anima
Un florilège de court-métrages oniriques issus de la collection Anima de Venus d'ailleurs éditeurs.
2ème partie :
Ciné Concert
Avec Tristan Felix (voix) et Arsène Tryphon (Guitare)
Le style musical d’Arsène Tryphon tire sa source dans l’avant-garde surréaliste et futuriste, l’anti-art Dadaïste et la pop underground...
Collages, sampling, instruments détournés, guitare sauvage ou liquide, mélange de Pop surnaturée et d’onirisme excentrique, ses compositions intègrent un grand nombre d’influences ; les musiques de films ; les musiques sérielles ou électroniques ; le cabaret ou le cirque, le burlesque, le surf spoutnik sidéral, les jingles ; les musiques traditionnelles ou venues d’ailleurs, les mélodies orientalistes de Gurdjieff... Un univers proche des Résidents ou de Renaldo and the Loaf, fait d’un grand rire noir où sous la lune, l’humour lime l’humeur…
Guitariste et bricoleur, il accompagne pendant 10 ans Pier Tardif, multi-instrumentiste et comédien sur différents projets musicaux (Cie ilotopie, Fol’été, Guez Record, Dadagong).
Il réalise les bandes originales de court-métrages et met en musique la pièce de théâtre de papier Le graveur de mode d’Eric Poirier. Aujourd’hui, toujours avec le sérieux d’un enfant qui s’amuse, il continue de composer en studio, accompagne Tristan Felix dans ses spectacles, projette des ciné-concerts...
Tristan Félix, quant à elle, est une artiste aux talents multiples, une virtuosité de touche-à-tout, une curiosité absolue. Elle écrit des poèmes et de la prose, dessine, photographie, imagine, construit et anime des marionnettes, réalise des vidéos, sonorise ses spectacles, fait des clowneries en Gove de Crustace..
Ses spectacles de marionnettes – à la fois drôles et inquiétantes, faites de bouts de pas grand-chose - se déploient au service d’une tendre et cruelle ironie, pour le Théâtre de la mort de Kantor ou le Petit Théâtre des Pendus.
Ce qui tient l’ensemble est un gueuloir de mots et d’images, entre foire et salon, un panorama grandiose éclaté en saynètes discordantes, pleines de nuances et de subtilité, entre sauvage et magie, fantastique, cru et terrifiant, une exploration baguenaudante des travers du langage.
Projections et concert.
1ère partie :
Venus Anima
Un florilège de court-métrages oniriques issus de la collection Anima de Venus d’ailleurs éditeurs.
2ème partie :
Ciné Concert
Avec Tristan Felix (voix) et Arsène Tryphon (Guitare)
Le style musical d’Arsène Tryphon tire sa source dans l’avant-garde surréaliste et futuriste, l’anti-art Dadaïste et la pop underground…
Collages, sampling, instruments détournés, guitare sauvage ou liquide, mélange de Pop surnaturée et d’onirisme excentrique, ses compositions intègrent un grand nombre d’influences ; les musiques de films ; les musiques sérielles ou électroniques ; le cabaret ou le cirque, le burlesque, le surf spoutnik sidéral, les jingles ; les musiques traditionnelles ou venues d’ailleurs, les mélodies orientalistes de Gurdjieff… Un univers proche des Résidents ou de Renaldo and the Loaf, fait d’un grand rire noir où sous la lune, l’humour lime l’humeur…
Guitariste et bricoleur, il accompagne pendant 10 ans Pier Tardif, multi-instrumentiste et comédien sur différents projets musicaux (Cie ilotopie, Fol’été, Guez Record, Dadagong).
Il réalise les bandes originales de court-métrages et met en musique la pièce de théâtre de papier Le graveur de mode d’Eric Poirier. Aujourd’hui, toujours avec le sérieux d’un enfant qui s’amuse, il continue de composer en studio, accompagne Tristan Felix dans ses spectacles, projette des ciné-concerts…
Tristan Félix, quant à elle, est une artiste aux talents multiples, une virtuosité de touche-à-tout, une curiosité absolue. Elle écrit des poèmes et de la prose, dessine, photographie, imagine, construit et anime des marionnettes, réalise des vidéos, sonorise ses spectacles, fait des clowneries en Gove de Crustace..
Ses spectacles de marionnettes – à la fois drôles et inquiétantes, faites de bouts de pas grand-chose – se déploient au service d’une tendre et cruelle ironie, pour le Théâtre de la mort de Kantor ou le Petit Théâtre des Pendus.
Ce qui tient l’ensemble est un gueuloir de mots et d’images, entre foire et salon, un panorama grandiose éclaté en saynètes discordantes, pleines de nuances et de subtilité, entre sauvage et magie, fantastique, cru et terrifiant, une exploration baguenaudante des travers du langage.